L’année 2017, ne s’annonce pas sous les meilleurs auspices pour les affaires de Victoria Beckham. Celle-ci aurait déclaré avoir perdu 5,6 millions de dollars (5,3 millions d’euros), avec sa marque de vêtements. Il s’avère d’ailleurs que le footballeur David Beckham aurait avancé des fonds à la marque depuis ses débuts.
Tout semblait pourtant bien aller pour la star de la pop, devenue créatrice de mode en lançant sa marque éponyme en 2008. Elle a même eu la reconnaissance de toute l’industrie puisqu’elle a décroché le titre de marque de créateur de l’année, lors des British Fashion Awards en 2011.
Il semblerait, que tout cela n’a pas suffi à pérenniser l’affaire, car d’après The Sun, la femme d’affaires a enregistré une grosse perte. Le journal assure qu’elle doit à son mari, le footballeur David Beckham, une énorme somme d’argent. Le footballeur aurait avancé des fonds à la marque depuis ses débuts pour soutenir son activité, et elle lui devrait donc 8,2 millions de dollars (7,77 millions d’euros).
Du côté du couple, on essaye de calmer le jeu, et surtout de ne pas porter à flanc aux rumeurs persistantes selon lesquelles l’affaire battrait de l’aile. Leur porte-parole a déclaré à MailOnline, « cela donne une fausse image de la manière dont ils gèrent leurs affaires. Il y a une compagnie holding privée (Beckham Brand Holdings Ltd), détenue à parts égales par Victoria, David et XIX, de Simon Fuller, qui gère toutes les affaires des Beckham faisant un profit conséquent en 2015. Ces entreprises peuvent être financées de diverses manières selon l’époque, ce qui peut donner lieu à un mélange de dettes, de prêts entre entreprises ou d’investissement en capitaux ».
Si la nouvelle prend de l’ampleur, c’est surtout qu’elle fait suite à une nouvelle du Daily Mail qui a dévoilé que la Companies House, le registre des sociétés britanniques, lui avait fait parvenir une mise en garde concernant une éventuelle fermeture liée à la non-présentation dans les temps, et pour la troisième année consécutive, de ses bilans comptables.
Qu’est-ce que vous voulez, quand on est artiste, on est loin de ses contingences matérielles !
Crédit photo : YOYO Press