Des anticorps qui n’ont jamais été découverts que maintenant auraient la propriété de lutter contre le Plasmodium Falciparum, le parasite responsable du paludisme.
Ces anticorps viennent d’être identifiés par des chercheurs. Ces anticorps pourraient favoriser le développement d’un vaccin contre le paludisme, d’après les études révélées ce mercredi 30 juillet. En associant l’anticorps avec une certaine quantité de protéines, l’anticorps réagit de la même manière que le système immunitaire d’enfants atteint de paludisme au Kenya. Les expériences qu’ils sont effectués leur ont permis de découvrir la meilleure utilisation des antigènes pour réactiver la défense immunitaire.
« La résistance aux traitements antipaludiques (…) est un problème grandissant qui rend indispensable la mise au point de vaccins pour combattre le Plasmodium falciparum avant qu’il ne rende malades les personnes infectées » d’après le Dr Faith Osier de l’institut de recherche médicale du Kenya. Près de 600 000 décès par an est dût au paludisme.