Une étude menée par des chercheurs de l’université de Waterloo en Ontario au Canada, fait état des liens existants entre les différentes positions sexuelles pratiquées et les problèmes de lombalgie chez les hommes. Publiée dans la revue Spine, cette étude recommande des positions spécifiques pour éviter d’avoir mal au dos.
Dans ce cadre, les chercheurs canadiens ont étudié la colonne vertébrale et la posture de l’homme pendant l’acte amoureux sur 10 couples de volontaires qui n’avaient aucun problème de dos. Les résultats de l’étude sont basés sur 5 positions particulières et montrent que certaines croyances sont contredites pas les faits scientifiques.
Par exemple, la position dite « des petites cuillères », que l’on pense souvent comme étant idéale pour tous, ne serait pas forcément adaptée pour ceux qui ont mal au dos, surtout si votre partenaire souffre quand il se penche en avant. Pour ces derniers, la levrette serait visiblement moins douloureuse.
Comme l’explique Dr Natalie Sidorkewicz, l’un des auteurs de l’étude, « les positions sexuelles qui sont adaptées à un type de mal ne le sont pas forcément à un autre. Pour la première fois, nous avons des données scientifiques solides pour aider les médecins dans leurs recommandations à destination de patients qui souffrent de problèmes de dos et veulent continuer à avoir une activité sexuelle », explique le ajoutant que ces résultats pourraient amélioré la qualité de vie et la vie amoureuse de nombreux couples.
Cette première étude ne porte que sur les hommes. Toutefois, un second volet est prévu, centré cette fois-ci sur les femmes souffrant du dos.
Crédits photo : Umberto Salvagnin
Pourquoi n’avoir pas attendu l’étude féminine ? Parce les questions sexuelles concernent seulement les mecs ? Les femmes ont seulement a être consentantes et si leur mal de dos est causé par la levrette, peu importe, ce qui compte c’est que monsieur soit à l’aise. L’amour c’est a deux êtres humains. Quand les deux sont satisfaits, il paraitrait que ce serait mieux. Mais ce concept n’a pas encore heurté notre siècle involutif.